jeudi 14 janvier 2010

Lise sur Santa Cruz

Le séjour à Santa Cruz a été éprouvant en raison de la chaleur humide et des moustiques. Ajoutez à cela, la fatigue de 24 heures de déplacements, le stress de l’arrivée dans un pays inconnu, un problème de médicaments et vous aurez un aperçu de la tension qui habitait la piètre voyageuse que je suis.

Je me sens toutefois privilégiée de l’accueil que nous avons reçu des gens de ALAS. J’apprécie en particulier d’avoir été témoin de la réunion avec les représentants d’un petit peuple indigène de Santa Cruz (Ayoreo). Le lien de confiance que Hugo Salvatierra a su établir avec eux est vraiment remarquable.



La nouvelle constitution que s’est donnée la Bolivie devrait donner du pouvoir à toutes les couches de population qu’ils soient riches, pauvres, indigènes, métis ou femmes. En ce qui concerne ces dernières, leur souci de leur donner du pouvoir ne doit pas avoir son pareil dans bien des pays.

La ville de Cochabamba me plaît énormément avec sa verdure et les montagnes qui l’entourent de toutes parts. J’ai hâte de la connaître un peu plus.

Si je devais résumer mes impressions de la Bolivie jusqu’à maintenant, je dirais que j’ai la sensation d’être en présence d’un peuple en marche.

Lise Gauvreau

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